RÉTROSPECTIVE. 1820. Deux siècles nous contemplent. Dans une lettre du 28 avril de cette même année destinée au doyen de la Faculté de droit de Paris, Monsieur Hugo craint « qu’une entreprise littéraire dont il a entendu parler ne fasse tort » aux études et à la bourse de ses enfants.

Son fils Victor fondera avec ses frères Abel et Eugène la revue « Le Consevateur Littéraire », prémisse d’une destinée insoupçonnable à cet instant donné.

La citation qui nous sert de titre nous provient tout droit de la pensée hugolienne, figure intemporelle qui a su s’acclimater aux soubressauts de son époque pour nous transmettre un héritage immortel.

Manier de la grande prose en faisant référence à Victor Hugo pour illustrer un petit billet sur un site anonyme, est-ce bien raisonnable ? Vous avez certainement raison.

Tentons d’y voir plus clair. La brève production littéraire que vous lisez actuellement contribue à renforcer le référencement de la marque FALOTIER dans les moteurs de recherche. Elle sert aussi de contenu exclusif à partager sur les différents réseaux sociaux. Une façon authentique d’exalter la visibilité de notre activité. Enfin, c’est sans doute moins quantitatif, cette publication peut permettre de susciter un débât et d’échanger avec des interlocuteurs concernés par le sujet traité.

Voyez-vous où je veux en venir ? Aplomb, Victor Hugo, citation et révolution.

Si nous sommes manifestement en guerre contre un ennemi qui ne peut être visible à l’oeil nu, nous pouvons également affirmer que nous traversons actuellement une révolution. Non palpable mais bien visible en l’occurrence !

Dématérialisation, QR code, télétravail, robotisation, e-commerce …

L’utilisation exponentielle et démocratisée des technologies numériques connaît un essor sans précédent depuis plusieurs années et une consécration pour le moins significative ces derniers mois.

Les avantages comparatifs induits par l’usage de ces nouveaux outils façonnent de nouveaux comportements. Il suffit de relever le nombre d’enseignes de prêt-à-porter qui ont du récemment plier boutique. Des victimes de la crise certes, mais à travers le prisme de modèles commerciaux qui n’ont pas su anticiper et s’accomoder à l’inédite conjoncture du marché.

Dans une période où tout s’accélère, la maîtrise des donnèes et du flux d’informations s’avère déterminante. Pour être en phase avec cette réalité, les acteurs économiques doivent renouveler leurs pratiques et adopter de nouveaux dispositifs.

Cette transition implique tous les secteurs d’activités et toutes les tailles de structure.

Au sein des multinationales ou des entreprises de grande envergure, cette problématique est prise à bras le corps depuis plusieurs années déjà. La situation est différente pour les PME plus élémentaires et les microentreprises si l’on considère le chiffre d’affaires comme référentiel.

En effet, faute de temps ou de compétences, parfois les deux, ces types de structures ne disposent pas des ressources immédiates pour entamer sereinement leur intégration numérique.

Les besoins sont multiples : paramétrer une page Google, assurer une présence pertinente sur les réseaux sociaux, informer sa communauté via newsletter, créer des synergies avec des acteurs ou influenceurs locaux. La liste n’est pas exhaustive.

Pour certains décideurs, ces enjeux peuvent sembler dérisoires et éloignés de leur spécialité originelle. Ce postulat n’est pas complétement faux. À court terme seulement. À moyen et long terme, la rentabilité de l’investissement consenti, modique rapporté au chiffre d’affaires, deviendra une évidence.

  • Un restaurateur sera certainement moins efficace qu’un photographe pour mettre en valeur ses créations culinaires.
  • Un vigneron sera sans doute moins idoine qu’un community manager pour promouvoir ses produits et son savoir-faire sur les réseaux sociaux.
  • Un chef d’entreprise dans le secteur du batîment sera a priori moins compétitif qu’un graphiste chevronné pour sublimer ses réalisations.

Partant de ce constat, les entreprises concernées ont tout intérêt à procéder à une réinitialisation de leur système.

Pour s’adapter agilement à l’oscillation périodique à laquelle nous sommes actuellement tous confrontés, il convient de ne plus perdre de temps pour mettre en place des leviers et des indicateurs performants.

Confier cette tâche à un partenaire externe vous permettra de relever ce défi en toute quiétude, sans négliger la qualité et en maîtrisant les coûts. Une aubaine pour un dirigeant qui ne souhaite pas mettre tous ses œufs dans le même panier ni détourner ses salariés de leur véritable cœur de métier.

À quelques heures de la clôture de cette Annus horribilis, profitons de cette révolution pour prendre nos bonnes résolutions. En mobilisant les talents invisibles et en planifiant une stratégie ajustée au calibre de votre organisation, accordez-lui une dimension à la hauteur de ses ambitions.

Parce que « la forme, c’est le fond qui remonte à la surface », toujours selon Victor Hugo, osez épouser cette poésie et faites-en la norme de votre prochaine réforme.

Que 2021 vous procure forme et vie d’Épicure, adage d’un doux millésime pour vos proches et votre entourage.

Thomas Dioudonnat
Fondateur & Gérant
FALOTIER